Apple domine le marché du smartphone et de l’informatique.

Mais l’entreprise compte aussi tirer parti de la prochaine révolution technologique majeure : la robotique.

Et ils viennent d’annoncer une lampe boostée à l’IA.

L’essentiel :

  • Apple s’appuie sur l’idée d’une lampe robotique, écho à la petite lampe de Pixar, pour rendre nos interactions avec les machines plus vivantes.

    Contrairement aux robots humanoïdes, Apple mise sur des gestes subtils : par exemple, la lampe se tourne vers la fenêtre avant de donner la météo, donnant un effet plus naturel.

  • Derrière ce prototype se cache une ambition de transformer l’assistant vocal Siri en compagnon domestique, capable de bouger et d’interagir.

    Un peu comme une Alexa, en plus attachant.

  • Pour l’instant, il s’agit d’un projet de recherche. Aucune annonce commerciale n’a été faite, mais on a quand même un aperçu du futur des produits domotiques Apple.

Dysney a pérennisé son empire en se focalisant sur un élément pour faire revenir génération après génération au cinéma : la nostalgie.

En misant sur une référence aux œuvres qui ont marqué notre enfance, Apple cherche à humaniser ses robots sans se limiter à leur donner une forme humaine.

Ils cherchent à dépasser nos réticences à intégrer la robotique dans notre quotidien avec des appareils intuitifs et attachants.

Futur flop ou coup de génie ?

Vous achèteriez une lampe Apple intelligente ?

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OpenAI a mis l’IA sur le devant de la scène en 2022 avec ChatGPT.
Mais maintenant, ils veulent construire des robots.

Dès mars 2024, la start-up a dévoilé un projet de robot intelligent, capable de se plier au doigt et à l’œil aux demandes des utilisateurs.

Sauf que ce n’était que le début.

Leur dernier dépôt de brevet révèle une ambition allant bien au-delà du virtuel, évoquant par exemple des robots autodidactes et du matériel intelligent.

L’essentiel :

  • Dans les documents des brevets, OpenAI mentionne « des robots humanoïdes équipés de fonctions de communication et d’apprentissage ».

    Rien de confirmé pour l’instant, mais l’intention est là.

  • OpenAI viserait aussi la conception de ses propres puces IA, voire l’exploitation de l’informatique quantique pour accélérer les entraînements.

  • Et ils ont décidé de bien s’entourer pour y arriver.

    L’embauche d’anciens designers de chez Apple laisse penser qu’un produit concret pourrait voir le jour d’ici quelques années.

Entre l’idée d’un robot humanoïde d’OpenAI et les avancées en IA générative, on assiste à un début de convergence entre l’IA et la machine.

Reste à voir jusqu’où OpenAI, après son succès fulgurant dans l’IA, poussera cette nouvelle ambition.

Surtout avec des géants comme Nvidia et Tesla en face, qui bossent dessus depuis plusieurs années.

Sam Altman vs Elon Musk : le combat continu

Sam Altman a annoncé le futur d’OpenAI dans un tweet.

Sauf qu’en même temps, Elon Musk a proposé de racheter l’entreprise pour $97,4 milliards.

L’essentiel :

  • GPT-4.5 (surnommé Orion) sera le dernier modèle OpenAI sans raisonnement en chaîne de pensée, marquant la fin d’une ère pour les LLM de l’entreprise.

  • Après GPT-4.5, OpenAI souhaite regrouper les gammes GPT et les GPT-o dans un seul modèle : GPT-5, qui sera capable de déterminer seul le niveau de réflexion nécessaire en fonction des requêtes.

  • Les plans des abonnements OpenAI vont aussi changer :

    • En gratuit, chat illimité avec GPT-5 en intelligence standard.

    • En abonnement Plus, ChatGPT sera plus intelligent et aura plus de fonctionnalités.

    • Et l’abonnement Pro offrira la version la plus puissante de GPT-5.

  • Sauf que lundi dernier, Elon Musk a fait une offre délirante à Sam Altman : racheter OpenAI.

    Altman a sèchement refusé l’offre lors du AI Action Summit à Paris, réaffirmant la mission « au service de l’humanité » d’OpenAI et confirmant que « l’entreprise n’est pas à vendre ». Il a répondu en proposant de racheter twitter pour 9.74 milliards, exactement 10% de l’offre de Musk.

Réaction : Musk traite Altman d’escroc.
Et la rivalité entre les dux ne fait que s’intensifier.

Entre la volonté d’OpenAI de refondre sa gamme et l’ambition de Musk pour l’avenir de l’IA est loin d’être tracé, la guerre va continuer de faire rage.

On vous tiendra au courant !

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Focus : une IA nucléaire

L’IA est une technologie encore nouvelle.

On ne la maîtrise pas entièrement, et son impact futur sur notre société reste impossible à déterminer.

Mais ce n’est pas la première fois que l’humanité est confrontée à cette situation.
En 1789, un scientifique allemand découvre un nouveau matériau : l’uranium.

Et tout s’enchaîne très vite.
Un peu plus d’un siècle plus tard, Pierre et Marie Curie découvrent la radioactivité.

Et le 6 août 1945, la première bombe atomique est lâchée sur Hiroshima.
La puissance destructrice de cette nouvelle technologie choque le monde entier.

Sauf que l’énergie atomique a deux facettes.
En 1954, le premier réacteur nucléaire est construit en URSS.

Il fournit une énergie plus propre que les centrales à charbon traditionnelles, mais surtout en quantités beaucoup plus importantes.

Mais aujourd’hui, l’IA pourrait servir à optimiser cette énergie nucléaire.
Et les liens entre les deux technologies sont de plus en plus étroits.

Au programme de cet article :

- L’IA s’installe dans nos centrales nucléaires,
- Sauf qu’une synergie est possible : nos IA sont une technologie très gourmande en énergie,
- Conséquence : les entreprises construisent leurs propres centrales, mais ce n’est pas sans risques.

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