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Apple prépare une IA pour faire des recherches internet.
Nom de code : World Knowledge Answers.

Lancement possible en même temps qu’une grosse mise à jour de Siri au printemps, avant une intégration dans Safari et Spotlight.

L’essentiel :

  • La firme développerait un moteur de réponses qui fonctionne comme la recherche web de toutes les IA : en agrégeant des sources, en résumant et en expliquant.

    L’outil d’Apple prend en charge texte, photos et vidéo.

  • Des tests avec un modèle Gemini sont en cours pour certains usages de Siri.

  • Siri deviendrait l’interface d’interaction principale entre les utilisateurs et le web partout sur l’iPhone et le Mac.

Un pari étonnant de la part d’Apple, qui arrive encore en retard par rapport aux entreprises d’IA.

Anthropic annonce $13 milliards supplémentaires, pour une valorisation qui grimpe à $183 milliards.

La raison ?
Une demande exponentielle, tirée par Claude et Claude Code.

L’essentiel :

  • Leurs revenus récurrents annuels sont passés d’1 à $5 milliard en 2025.

    Claude Code pèse déjà plus de $500 millions en revenus annualisés.

  • La levée est pilotée par Iconiq, co-mené par Fidelity et Lightspeed, avec plus de 20 investisseurs institutionnels.

    Objectifs : plus de capacité, plus d’investissements en sécurité, et une expansion internationale.

  • Mais ces fonds arrivent dans un contexte mouvementé.

    Anthropic a publié un rapport sur les abus détaillant des usages concrets et inquiétants de ses outils : opérations d’extorsion appuyées par Claude Code, rançongiciels générés par des acteurs au niveau technique limité, et autres arnaques industrialisées.

Le pari d’Anthropic sur une IA transparente pourrait continuer à leur générer des dividendes ou se retourner contre eux sans nouveaux investissements en sécurité.

Maintenant qu’elle y est engagée, l’entreprise doit continuer à tenir sa ligne.

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Focus : Le futur de la création IA ?

Gemini 2.5 Flash, baptisé nano-banana, est sorti il y a un peu plus d’une semaine.
Sauf qu’il est tout de suite devenu viral.

Pourquoi cet engouement ?
Et comment en tirer quelque chose de concret ?

À suivre :

  • Pourquoi nano-banana est devenu si populaire ?

  • Comment vous l’approprier ?

  • Les usages les plus fous.

Pourquoi nano-banana est devenu si populaire

Le secret de nano-banana est l’efficacité utile.
Il génère et retouche des images avec une latence et un coût très faibles.

La boucle itérative devient fluide.
On prompt, on obtient un rendu en quelques secondes, on corrige, on réitère.

Autre point clé : la maîtrise créative.

On peut partir d’un prompt texte, d’une image de référence ou d’un croquis, puis modifier finement des zones.

On obtient une cohérence globale en plus d’une forte cadence de production.
Les créateurs l’ont même adopté comme moteur de storyboard.

On esquisse les plans d’une publicité, d’un clip ou d’un tutoriel, puis on passe l’assemblage à un outil vidéo.

Pour un entrepreneur, une équipe marketing ou un formateur, la vélocité du modèle est un atout.

On passe de l’idée au prototype dans la journée.
Alors comment l’adapter à votre activité ?

Utiliser Nano Banana

Déjà, accédez au modèle.

Une fois devant l’interface, la tentation est de « tout demander d’un coup ».
Mauvaise idée.

Le secret, c’est de raisonner par briques et d’empiler les couches.

Commencez par l’intention : une description claire du message et du contexte d’usage (page produit, post LinkedIn, affiche interne).

Donnez au modèle des références de style : lien vers une palette, un logo dans Drive, une photo « étalon ».

Générez 3–5 variantes, sélectionnez la meilleure, puis retouchez localement les zones concernées.

Cette micro-itération donne des visuels propres, cohérents et immédiatement publiables.

Si votre objectif final est la vidéo, utilisez ces images comme storyboards : un visuel par plan, avec des annotations comme le cadre et le ton.

Vous transférez ensuite le tout vers votre outil d’animation préféré, gagnez du temps et gardez la main sur la direction artistique.

Vous pouvez même aller encore plus, en intégrant le modèle directement à une application ou un site.

Voici quelques exemples de ce que vous pouvez faire concrètement.

Les cas d’usage qui cartonnent

Croquis au fusain

Nano-banana sait rendre un croquis au fusain aussi vrai que nature.
Parfait pour tester une direction artistique en amont d’un tournage ou d’une campagne.

On obtient des vignettes brutes mais parlantes.

Cohérence d’images sur plusieurs plans

Besoin d’un personnage identique du début à la fin ?

Le flux éditeur de nano-banana permet de figer un style (visage, tenue, palette) et de générer des images d’ouverture et de fermeture cohérentes.

Ces images ancrage s’utilisent ensuite dans un modèle vidéo comme Veo pour garder la continuité visuelle entre les scènes.

Résultat : un micro-film qui ne saute pas d’un plan à l’autre.

Aquarelles cartographiques

À partir d’une zone Google Maps, nano-banana produit un rendu lisible et élégant.

C’est redoutable pour un plan d’accès, des zones de livraison ou une fiche événement.
On obtient un visuel premium en quelques minutes, sans passer par un illustrateur.

Grilles de variations

Le grid theme génère 6 à 9 propositions cadrées de la même façon, mais avec des variantes de pose, lumière ou motif.

C’est l’outil parfait pour tester une miniature YouTube, une affiche ou un visuel et décider en un seul coup d’œil.

Bref, nano-banana ne remplace ni les studios ni les réalisateurs.

Il compresse le coût du prototype et libère du temps pour la narration, la cohérence et l’exécution.

Vous pouvez tester plus, apprendre plus vite, et ne produire que ce qui fonctionne vraiment.

La communauté FreeA au taff, par nano-banana

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How 433 Investors Unlocked 400X Return Potential

Institutional investors back startups to unlock outsized returns. Regular investors have to wait. But not anymore. Thanks to regulatory updates, some companies are doing things differently.

Take Revolut. In 2016, 433 regular people invested an average of $2,730. Today? They got a 400X buyout offer from the company, as Revolut’s valuation increased 89,900% in the same timeframe.

Founded by a former Zillow exec, Pacaso’s co-ownership tech reshapes the $1.3T vacation home market. They’ve earned $110M+ in gross profit to date, including 41% YoY growth in 2024 alone. They even reserved the Nasdaq ticker PCSO.

The same institutional investors behind Uber, Venmo, and eBay backed Pacaso. And you can join them. But not for long. Pacaso’s investment opportunity ends September 18.

Paid advertisement for Pacaso’s Regulation A offering. Read the offering circular at invest.pacaso.com. Reserving a ticker symbol is not a guarantee that the company will go public. Listing on the NASDAQ is subject to approvals.

PS : Cette newsletter a été écrite à 100% par un humain. Ok, peut-être 80%.

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