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L'IA protège l'environnement

+la folie OpenAI

Temps de lecture : 2mn15

Hello,

ChatGPT vient de changer : adieu o1, bonjour GPT 4.1 sur l’API et o3 et o4 mini sur l’interface classique.

Mais aujourd’hui, on répond aussi à une autre interrogation sur le monde de l’IA.
Beaucoup croient que cette tech détruit l’environnement.

Spoiler : c’est plus complexe que ça.
Parce que maintenant, l’IA devient écologique

Théo

La disparition des espèces s’accélère et nous fait entrevoir un futur incertain. Pourtant, l’IA ouvre de nouvelles pistes pour mieux préserver la biodiversité.

Grâce à ses capacités de traitement rapide et à sa précision croissante, elle devient un allié majeur dans la lutte contre l’extinction de nombreuses espèces.

L’essentiel :

  • L’IA peut analyser en temps réel des images issues de drones ou de satellites pour détecter la déforestation illégale ou repérer les populations animales en danger (ex. éléphants ou rhinocéros).

  • Des capteurs intelligents, couplés à des algorithmes de reconnaissance, aident à suivre la migration ou le braconnage de la faune, facilitant les interventions d’urgence.

  • Certaines IA aident aussi à planifier la reforestation, choisir les espèces végétales adaptées et suivre la croissance des jeunes arbres de façon optimale.

  • En étudiant température, humidité et signaux sur le terrain, des modèles prédictifs alimentés par l’IA peuvent alerter sur les risques de feu et mobiliser plus vite les pompiers.

  • En mer, les drones équipés d’IA identifient les débris plastiques et permettent de cartographier les zones critiques où concentrer les opérations de nettoyage.

Loin de se limiter au monde tehcnologique, l’IA s’impose comme un outil précieux pour la protection de la biodiversité.

Reste à concilier cette technologie avec les enjeux humains et écologiques, afin de bâtir un avenir où nature et intelligence artificielle se renforcent mutuellement.

GPT‑4.1 vient d’arriver.

Mais vous ne le trouverez pas dans l’interface classique : la nouvelle famille de modèles n’est proposée qu’aux développeurs via l’API.

L’essentiel :

  • GPT‑4.1 classique, mini et nano dépassent GPT‑4o sur la plupart des tests :
    + 21 pts en résolution de bugs (54,6 % sur SWE‑bench) et + 10 pts en suivi d’instructions.

  • Jusqu’à 1 million de tokens en entrée pour analyser d’un coup d’énormes bases de données.

  • La version mini est deux fois plus rapide et 83 % moins chère que GPT‑4o ; la nano devient l’option la plus rapide et la moins coûteuse de tout le catalogue (0,10 $ par million de tokens en entrée).

  • Avec un meilleur suivi des longues conversations et la possibilité d’appeler des outils externes, GPT‑4.1 sert de moteur aux agents qui réparent du code, trient des mails clients ou extraient des infos de PDF géants.

  • Les utilisateurs classiques continueront de converser avec GPT‑4o ; les gains de 4.1 y seront intégrés progressivement.

GPT‑4.1 pousse encore le plafond technique, mais il se réserve pour l’instant aux développeurs. Pour le grand public, il faudra patienter ou utiliser l’API.

Mais heureusement, d’autres nouveaux modèles viennent compléter la nouvelle offre OpenAI.

OpenAI dévoile également la paire o3 et o4‑mini, des modèles taillés pour le raisonnement, la vision et l’autonomie.

L’essentiel :

  • Les deux modèles voient nos images puis les intègrent dans leur chaîne de raisonnement.
    Pratique pour déboguer une interface ou décoder un graphique.

  • o3 et o4‑mini choisissent seuls le bon outil (web, code, recherche de fichiers…), et livrent la réponse au bon format, le tout en moins d’une minute.
    Ces modèles sont plus autonomes et plus rapides que leurs prédécesseurs.

  • o3 devance GPT‑4‑turbo sur les benchmarks de logique (SWE‑bench, MMMU).
     o4‑mini, plus léger, décroche 92,7 % de réussite à l’AIME 2025, tout en réduisant la latence de moitié et le coût de ‑83 % par rapport à GPT‑4o.

OpenAI fusionne désormais le meilleur des deux mondes : la conversation fluide des GPT et le raisonnement outillé de la série o.

Objectif : des modèles vraiment autonomes, rapides et (surtout) abordables.

Prochaine étape ? Unifier totalement ces gammes pour qu’un seul modèle discute, code et exécute des tâches complexes sans friction. Ca, ce sera GPT-5.

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Focus : Comment l’IA protège la nature

On conçoit souvent la tech comme une catastrophe environnementale.

Entre les centres de données gourmands en énergie, les batteries qu’on a du mal à recycler et les émissions de Co2, difficile de se dire que l’industrie ne nuit pas à la nature.

Pourtant, en y regardant de plus près, on se rend compte du contraire.
Surtout avec l’IA.

Et si elle pouvait servir à protéger la nature ?
Comment tirer parti du meilleur de la technologie en respectant notre planète ?

À suivre :

  • Lutter contre la crise, avec l’IA.

  • Quels solutions existent déjà ?

  • Spoiler : l’IA protège déjà l’environnement. Et on ne s’en rend même pas compte.

Lutter contre la crise

Le changement écologique actuel touche à la fois la biodiversité, le climat et nos modes de vie.

Entre la déforestation, la disparition d’espèces, la pression sur les ressources naturelles ou les émissions de CO2, il devient urgent de repenser certains aspects de nos sociétés.

Mais cette complexité dépasse l’échelle humaine : nul ne peut, seul, analyser en continu des milliers de capteurs ni traiter des images satellites d’une énorme forêt.

En revanche, l’IA pourrait en être capable.

Et en analysant un volume colossal de données en temps réel, elle peut nous aider à prévenir certains désastres.

Pour la surveillance, l’IA nous donnerait les yeux qu’il nous manque pour nous assurer de la protection de l’environnement.

Mais la technologie nous permet aussi de tourner notre regard vers l’avenir.
Certains modèles sont déjà capables d’optimiser l’électricité à l’échelle de tout un réseau.

Autre exemple : l’impact de l’agriculture pourrait être réduit en ciblant exactement les parcelles à traiter aux pesticides et en évitant le gaspillage d’eau ou l’excès d’engrais.

L’IA devient un amplificateur d’actions positives, permettant d’aller plus vite et plus loin dans la protection de la planète.

Et certains s’y attellent déjà.

Qui développe ces modèles ?

Ne fais pas partie de ceux qui se font remplacer par l'IA.

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