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Il y a un problème avec la révolution IA

Beaucoup pensent qu’il est déjà trop tard pour tirer parti de l’IA.
“Le train est passé. Et nous sommes restés sur le quai.”

Sauf que c’est faux. Nous en sommes encore aux balbutiements.
Votre carrière pourrait changer maintenant si vous le décidiez.

Et c’est là qu’intervient notre partenaire, Alyra :

  • L’école n°1 en France pour se former à la blockchain et à l’IA.

  • Plus de 2 200 apprenants formés, des milliers de pros devenus leaders dans leur domaine.

  • 91% de retour à l’emploi en moins de 6 mois.

  • 54% de leurs alumni gagnent plus de 50k€/an et 31% dépassent les 70k€/an.

Le plus dur quand on se forme, c’est de garder le cap.
C’est pour ça qu’Alyra vous accompagne pas à pas avec :

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  2. Un coaching personnalisé par des experts de l’écosystème.

  3. Une vraie communauté d’alumni et de pros prêts à partager leurs retours.

Du consulting au développement, leur proposition englobe tous les compétences nécessaires pour maîtriser les nouvelles techs.

Parce que pour éviter de se faire remplacer par l’IA, mieux vaut l’intégrer dans notre quotidien et prendre une longueur d’avance.

Comment la génération vidéo va changer le cinéma

Avec l’arrivée de modèles IA capables de générer des vidéos ultra-réalistes (comme Sora), le septième art entre dans une nouvelle ère.

Désormais, il est possible d’automatiser ou de faciliter toutes les étapes d’une production : écriture, casting virtuel, tournage numérique et post-production.

Mais jusqu’où cette révolution pourrait-elle conduire l’industrie cinématographique ?

L’essentiel :

  • Des outils comme Scriptbook peuvent rédiger des intrigues entières, en se basant sur des millions de données de préférences spectateurs.

  • Grâce à NeuralActors, on peut créer des personnages 3D (avec voix, expressions…) hyperréalistes, sans passer par des acteurs physiques.

  • Des solutions telles que Sora permettent de générer des scènes entières via des prompts, du décor aux effets spéciaux, réduisant drastiquement le coût des plateaux physiques.

  • Montage, colorimétrie, musique… plusieurs logiciels assistés par intelligence artificielle (ElevenLabs, Soundraw, etc.) aident à finaliser le film en quelques clics seulement.

En réunissant divers outils IA, il devient possible de réaliser un film presque intégralement “en studio virtuel”.

Restent des questions majeures : quid de la dimension artistique humaine ? Quel avenir pour les comédiens ?

Une chose est sûre : la symbiose homme-IA promet d’ouvrir de nouveaux horizons créatifs pour le cinéma de demain.

Meta frappe fort avec Llama 4, un ensemble de nouveaux modèles d’IA destinés à concurrencer directement OpenAI, Google et consorts. Trois variantes sont proposées : Scout, Maverick et Behemoth.

L’essentiel :

  • Scout

    • Conçu pour des assistants conversationnels avec 10 millions de tokens en contexte.

    • Inférence rapide sur un unique GPU H100.

    • Gère le texte et l’image pour de longues analyses (documents, code, etc.).

    • Disponible en “open-weight” : utilisable librement sous licence Meta, y compris pour un usage commercial.

  • Maverick

    • Vise la multimodalité (texte + vision + fonctions d’outils).

    • 17 milliards de paramètres actifs et 128 “experts” internes pour des performances élevées.

    • Battrait GPT-4o sur plusieurs tests de raisonnement et code.

    • Peut tourner sur une seule machine sans cluster.

  • Behemoth

    • Modèle géant avec 288 milliards de paramètres actifs, encore en cours de formation.

    • Ambitionne de dépasser GPT-4.5, Claude Sonnet et Gemini.

    • Sert de “professeur” pour affiner Scout et Maverick grâce à la distillation.

Meta affiche sa volonté de miser sur l’ouverture et la polyvalence pour séduire chercheurs et entreprises.

Reste à voir si Llama 4 tiendra ses promesses et parviendra à faire de l’ombre aux ténors actuels.

OpenAI vient de riposter aux attaques répétées d’Elon Musk en lançant une contre-attaque judiciaire.

Après plusieurs plaintes et actions en justice de Musk, OpenAI reproche à l’entrepreneur de nuire à sa mission en cherchant à la contrôler.

Cette situation s’intensifie alors que l’entreprise doit finaliser une conversion en société à but lucratif pour recevoir 40 milliards de dollars d’investissements.

L’essentiel :

  • La start-up l’accuse de “harcèlement” visant à ralentir son développement et à prendre la main sur ses technologies.

  • Musk a cofondé OpenAI mais est parti en 2018, critiquant l’évolution du projet vers un modèle hybride (non lucratif / for-profit).

  • Pour bénéficier de financements massifs (jusqu’à 40 milliards), OpenAI doit devenir une entreprise à but lucratif d’ici fin 2025, ce que Musk tente d’empêcher.

  • La contre-attaque d’OpenAI affirme que Musk aurait monté xAI pour concurrencer Altman et “saboter” les ambitions d’OpenAI.

  • Prochaine étape : un procès avec jury est prévu au printemps. Les enjeux sont énormes, car le succès d’OpenAI dépend de sa capacité à lever des fonds et à mener sa mission, tandis que Musk entend préserver sa propre vision de l’IA.

Entre ambitions personnelles, querelles juridiques et guerre de financement, on se rapproche du dernier bras de fer entre OpenAI et Musk.

La bataille juridique prévue au printemps 2026 décidera de l’avenir de l’une des plus influentes start-up d’IA au monde.

Qui sortira vainqueur dans la course à l’IA ? Réponse dans quelques mois.

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Focus : L’IA au cinéma

Depuis la sortie de Sora, le modèle de génération vidéo par IA le plus performant jamais créé, une question nous brûle les lèvres.

Quel est l’avenir de l’industrie du cinéma ?

Aujourd’hui, les possibilités sont démultipliées : du doublage aux effets spéciaux en passant par la création d’acteurs virtuels, la création visuelle n’a plus de limites.

À suivre :

  • Faisons un film avec l’IA,

  • Les meilleures productions de l’IA,

  • Comment concilier les nouvelles techs et l’humain ?

Faisons un film ensemble

Notre mission : réaliser un film entièrement avec l’aide de l’IA.
Pas un film indépendant. Un gros film. Un projet pour casser le box office.

Première étape : l’écriture du scénario

Avec l’aide de Scriptbook, on travaille sur l’histoire.

Nourri par des millions de données sur les préférences des spectateurs, le modèle propose un thriller psychologique avec des rebondissements inattendus.

On ajuste quelques scènes, et l’IA génère immédiatement des dialogues adaptés au ton et à l’ambiance souhaités.

Les suggestions d’améliorations s’affinent au fil des itérations, rendant le script de plus en plus sûr de cartonner au box-office.

Dans quelques années, on pourra même adapter le scénario proposé aux spectateurs en fonction de leurs préférences.

D’ailleurs, Netflix le fait déjà avec les miniatures de ses films et séries.

Deuxième étape : le casting

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