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Que tu sois passionné, effrayé ou curieux de l'IA, tu vas pouvoir mieux comprendre et maîtriser cet outil aussi puissant que dangereux.

Et c'est parti pour la plongée !

Théo

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Dans l'email d'aujourd'hui :

• Mistral permet à n’importe qui de coder grâce à Codestral

• J’ai fait mon premier TEDx

• Sana me fascine. Et il faut que je vous en parle

Mistral permet à n’importe qui de coder grâce à Codestral

Codestral est le dernier modèle sorti par Mistral, mais aussi leur premier modèle spécialisé dans la génération de code.

Le modèle parle plus de 80 langages de programmation, surpasse tous ses concurrents sur les benchmarks, et a surtout une fenêtre de contexte de 32k tokens (environ 24 000 mots).

Ils se présentent comme une aide pour les développeurs, mais également comme un outil pour démocratiser le coding. Et c’est deux sujets complètements séparés.

Parce qu’un développeur n’aura pas la même approche. Un développeur comprend le code, donne une direction claire à l’IA et s’en sert comme un assistant pour “pisser du code” plus vite, ou alors pour utiliser plus facilement d’autres langages de modèles.

La précision est certes importante pour ne pas passer trop de temps à corriger l’IA, mais la rapidité et la mémoire (pour des projets plus complexes) seront des variables potentiellement prioritaires.

Par contre, pour un débutant ne sachant pas coder, c’est pas du tout la même histoire.

Bien sur, la vitesse et la mémoire sont toujours un plus, mais c’est surtout l’absence d’erreur qui est recherchée. Et c’est là que les grandes compagnies font une erreur selon moi (mais qui est volontaire).

En ne sortant qu’un seul modèle, elles savent que ce seront surtout les développeurs qui s’en serviront, et qu’ils ne démocratisent pas vraiment le coding. Certes, on peut faire joujou, mais ça reste complexe pour un néophyte.

Sauf que je pense que c’est fait exprès.

Parce que c’est les développeurs qui peuvent vendre leurs créations après, et donc c’est eux qui accordent le plus de valeur à l’IA. C’est eux qui paient les abonnements, et surtout des quantités astronomiques de tokens sur l’API. Aucune de ces compagnies “bienfaisantes” n’a vraiment l’intention de démocratiser le coding (enfin, ce n’est pas leur priorité).

Mais pour autant, les portes ouvertes sont quand même énormes. Et la sortie de ce nouveau modèle m’a donné envie de faire un sujet sur ce qu’il est réellement possible de faire en tant que débutant dans la programmation avec ces IA. Et d’ailleurs, ça pourrait s’inclure dans une série en plusieurs newsletters à laquelle je suis en train de penser, “comme l’IA impacte réellement le quotidien de l’employé”, avec un focus sur les différentes tâches à chaque édition (programmation, formation, consulting, etc… les sujets sont presque infinis)

J’ai fait mon premier TEDx

Samedi, j’ai fait mon premier TEDx.

Forcément, vous me connaissez ; le titre était : “Comment accepter de se faire remplacer par l’IA et en tirer parti.”

Une quinzaine de minutes pendant lesquelles j’ai expliqué :

• Pourquoi vous ne serez jamais meilleur que l’IA

• Pourquoi l’IA VA vous remplacer

• Pourquoi l’IA DOIT vous remplacer

• Comment en tirer parti

C’était une folie.
Et chaque nouvelle conf que je fais me rend toujours plus amoureux de l’exercice. (D’ailleurs, si vous voulez qu’on discute d’une intervention dans votre entreprise pour former vos collaborateurs à l’IA, il vous suffit de répondre à ce mail ;))

Vous serez les premiers informés lorsque la vidéo sortira sur la chaine officielle de TED.

Et oui, je suis probablement le plus jeune ou l’un des plus jeunes speaker de TEDx du monde. C’est une folie.

Cette entreprise d’IA me fascine

Et son fondateur l’a créé lorsqu’il avait 19 ans

Est-ce que vous connaissez Sana.ai ?
Probablement pas, puisque l’entreprise est très peu connue en France.

Pourtant, cette compagnie a un objectif très simple :

Augmenter l’intelligence humaine.

Et pour ça, ils font le pari d’un partenariat entre l’intelligence artificielle et l’intelligence humaine.

Son fondateur a créé l’entreprise en 2016 alors qu’il avait 19 ans, et l’entreprise valait était valorisée à 200 millions fin 2022, après avoir levé une trentaine de millions.

Et pour être tout à fait honnête, j’ai découvert l’entreprise hier par un hasard complet dans l’une des newsletters que je lis.

Sauf que j’ai tout de suite résonné avec leur mission, et leur manière de faire : mettre la technologie au service de l’humain pour augmenter ses capacités.

Maintenant, je dois être honnête.

Je viens seulement de découvrir l’entreprise et ce qu’elle fait. Je n’ai pas du tout assez de recul, et je vais justement passer les prochains jours à creuser, parce que ça me fascine.

Mais je tenais à vous partager cette découverte (et par la même occasion, vous spoiler l’un des prochains sujets de la newsletter).

PS : Si par hasard vous avez un contact ou une mise en relation possible qui pourrait ouvrir une discussion avec leurs équipes, envoyez moi tout de suite un message !

Et voici pour aujourd'hui !

On se retrouve jeudi !

En attendant, dis moi-ce que tu as pensé de la newsletter d'aujourd'hui !

Plus courte qu’à l’habitude, mon TEDx m’a fortement épuisé et laissé moins de temps pour travailler sur cette édition 😅 

La remarque de la semaine dernière :

Au moins, c’est clair. J’ai compris le message :)

Par contre, j’ai eu plusieurs remarques sur une coquille que j’ai faite, écrivant millions au lieu de milliards à une unique occurence d’un nombre qui revenait plusieurs fois. C’est une erreur de ma part, je m’en excuse, mais j’ai très peu apprécié certains commentaires.

Je publie sur internet entre 5 et 10k mots par semaine, alors ça m’arrive de faire des coquilles, et je remercie toutes les personnes qui me le font remarquer par esprit de bienveillance.

Dire qu’il y a une erreur, c’est une bonne chose. Mais dire que les newsletters ne sont plus travaillées, que c’est du texte bateau écrit par une IA même pas relu et que je suis aveugle, c’est excessif, et ça peut être blessant.

Ca ne concerne que quelques personnes, et ne vous sentez pas concernés si ce n’est pas votre cas, mais je tenais à le dire.

PS : Cette newsletter a été écrite à 100% par un humain. Ok, peut-être 80%.