Temps de lecture : 3mn10

Hello,

Aujourd’hui, on se penche sur une révolution qui s’accélère : les robots entrent dans nos vies.

On vous raconte tout dans notre Focus.

En plus, OpenAI officialise son virage vers le profit, et Google frappe fort avec un outil qui chamboule le marketing.

Théo

Qu’est-ce qui fait la différence entre un bon et un mauvais vendeur ?*

Pour moi, la réponse tient en une phrase : détecter les opportunités et rebondir dessus. Sauf que ça prend un temps énorme.

Avant, je le faisais. À la main.

Je regardais manuellement qui likait mes posts, qui regardait mon profil, qui commentait, pour leur envoyer un message personnalisé.

Ça m’a énormément aidé à grossir au début, mais j’y passais des dizaines d’heures par semaine. C'est parce qu'à l'époque, je n'avais pas Reactin.

  • ReactIn détecte les likes et interactions avec notre profil et lance les conversations avec nos prospects au bon moment.

  • Tout est centralisé, plus besoin d'empiler les SAAS d'automatisation (à lui tout seul, il remplace Trigify + Clay + HeyReach.)

  • En plus, l'outil retrouve le profil d'un prospect à partir d’un simple email, puis envoie le bon message au bon moment.

Résultats (d'après leurs stats) : +50% de leads générés, +30% de conversion, –25% d'effort commercial.

Perso, j'ai pu tout mettre en place rapidement et couper mes abonnements à d'autres services.

Et de toutes façons, je vous laisse vous faire votre propre avis.

En cliquant sur ce lien, obtenez une semaine gratuite pour tester l'outil en entier et voir s'il s'adapte à vos besoins :

*article sponsorisé

La start-up norvégienne 1X ouvre les précommandes pour NEO, son robot humanoïde conçu pour la maison.

C’est la première fois qu’un robot de ce type est disponible au grand public, avec des livraisons prévues aux États-Unis dès 2026.

L’essentiel :

  • NEO mesure 1,60 mètre et pèse 70 kilos, avec une autonomie de 4 heures sur batterie rechargeable.

  • Pour l’instant, il combine autonomie partielle et contrôle à distance par des humains, qui enregistrent les mouvements pour entraîner son IA à s’améliorer.

  • Il coûte 20 000 dollars en achat unique, ou 499 dollars par mois en location, incluant mises à jour logicielles gratuites.

Mais attention, ce n’est que le début : NEO apprendra de vos habitudes pour devenir plus indépendant, et 1X prévoit de produire 100 000 unités d’ici 2029.

OpenAI achève sa restructuration, passant d’une structure hybride à une société à but lucratif nichée au sein d’une fondation non lucrative.

Ce changement, longtemps réclamé par les investisseurs, met fin à des années de contraintes légales qui freinaient les levées de fonds.

L’essentiel :

  • La fondation OpenAI détient 26 % de la nouvelle entité à but lucratif (OpenAI Group), nomme son conseil d’administration et supervise la mission.

    Microsoft garde 27 % (valorisé à 135 milliards de dollars).

  • Les 47 % restants reviennent aux investisseurs et employés.
    Cela permet à OpenAI d’acheter des entreprises et de lever des capitaux sans limites, avec un objectif de centaines de milliards de dollars de revenus annuels.

  • Cette transition ignore les poursuites d’Elon Musk, cofondateur, qui accusait OpenAI de trahir sa mission initiale.

Ce virage libère OpenAI pour accélérer ses investissements en infrastructure IA, comme le projet Stargate à 500 milliards de dollars.

Google Labs et Google DeepMind lancent Pomelli, un outil d’IA pour créer des campagnes marketing sur mesure, sans besoin d’agence.

L’essentiel :

  • Destiné aux petites et moyennes entreprises, il génère du contenu cohérent avec votre marque en trois étapes simples.

  • Étape 1 : Analysez votre site web pour créer un "ADN d’entreprise" incluant ton de voix, polices, couleurs et images, assurant une cohérence totale.

  • Étape 2 : Générez des idées de campagnes adaptées, ou saisissez votre propre idée pour une personnalisation immédiate.

  • Étape 3 : Produisez des visuels et textes prêts à l’emploi pour réseaux sociaux, site web ou publicités. Tout est téléchargeable et utilisable directement.

  • L’outil est en bêta publique aux États-Unis, Canada, Australie et Nouvelle-Zélande.

Pomelli vise à démocratiser le marketing, en réduisant jusqu’à 80 % les coûts pour une PME typique.

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Focus : mon colocataire est un robot

Vous rentrez chez vous après une longue journée.

Mais avant de vous affaler sur le canapé, un robot de 1,60 mètre vous accueille avec un café fumant, ramasse vos chaussures et lance votre série préférée.

C’est la promesse de NEO, le nouveau venu de 1X
À 499 dollars par mois, il inaugure l’ère de la robotique domestique.

Utopie ou dystopie ?

À suivre :

  • Notre futur colocataire à $20 000.

  • La course aux robots.

  • Le problème de Neo.

Mon nouveau colocataire à $20 000

Il y a plus d’un an, 1X, une start-up norvégienne fondée par d’anciens ingénieurs de Boston Dynamics a dévoilé NEO.

1,60 mètres, 70 kilos, une silhouette élancée avec des articulations souples inspirées de l’anatomie humaine.

Sa batterie lui offre quatre heures d’autonomie, rechargeable en deux heures sur une prise standard.

Côté fonctionnalités, il démarre avec l’essentiel : ouvrir des portes, ramasser des objets allant jusqu’à 5 kilos, ou allumer des lumières via commandes vocales.

Son vrai atout réside dans son intelligence.
NEO enregistre nos gestes quotidiens (avec votre accord) pour s’adapter.

Par exemple, si on range toujours nos clés sur l’étagère du bas, il les y posera à leur place après quelques jours.

Le prix ?

20 000 dollars en achat unique, ou 499 dollars par mois en abonnement, incluant mises à jour logicielles et support technique.

Pour l’instant, les précommandes sont ouvertes aux États-Unis, avec livraisons en 2026.

1X prévoit d’en produire 100 000 unités d’ici 2029, baissant les coûts à mesure que la production monte en cadence.

Bref.
Pour la première fois, un robot humanoïde est pensé pour cohabiter avec nous.

La course aux robots

1X se distingue par son côté presque humain.

On le voit dans le marketing : le robot est présenté comme un nouveau membre de la famille.

NEO parle, écoute et s’adapte même à notre humeur grâce à une IA qui détecte les émotions dans notre voix.

La course est lancée, et les prix pourraient chuter à 10 000 dollars d’ici trois ans avec la production de masse.

Sauf que NEO n’arrive pas seul sur le marché.

Figure 03, à $30 000, est déjà déployé dans les usines BMW pour des shifts de dix heures, manipulant des pièces automobiles avec une précision chirurgicale.

Figure mise sur la force brute, avec jusqu’à 20 kilos par bras, et l’intégration industrielle.

Unitree, avec ses quadrupèdes à 3 000 dollars, déjà disponibles sur Amazon, reste limité aux mouvements animaux.

Tesla, avec Optimus, joue sur le volume : Elon Musk promet 20 000 dollars l’unité en 2027, capable de plier du linge ou promener le chien.

Optimus excelle en apprentissage par renforcement, mais des vidéos de tests montrent qu’il a encore du mal sur des terrains irréguliers.

Sauf que Tesla n’est pas vraiment en retard.
Parce que 1X a un petit secret bien caché.

Lorsque NEO n’arrive pas à effectuer une tâche, des opérateurs humains le guident à distance pour collecter des données, rendant son IA plus fiable en milieu domestique.

Et ça permet à 1X de se positionner comme le plus accessible pour le grand public.

Mais ce contrôle à distance pose un souci.

Utopie ou dystopie ?

Dès l’annonce, Internet s’est enflammé.

Un débat Reddit donne 60 % de réactions négatives à la nouvelle.
Et ces discussions soulignent une fracture.

Pour les uns, NEO est un allié
Pour les autres, un pas vers un monde où seuls les riches s’offrent un robot esclave.

Avec en plus des milliers de téléopérateurs humains chargés de les seconder.

Surtout que NEO enregistre des heures de vidéos pour s’entraîner.

Même si 1X promet un chiffrement de bout en bout, la possibilité d’un hack reste troublante.

Et puis, qui stocke les données de nos routines ?
1X ou un tiers ?

Et il y a pire : la possibilité d’addiction.

40 % des utilisateurs rapportent une "attache émotionnelle" à leur robot après une semaine, lui déléguant émotions et décisions.

En même temps, difficile de ne pas voir le potentiel de la tech, ne serait-ce qu’à l’échelle des tâches ménagères.

Avec NEO en précommande, la révolution robotique n’est plus un fantasme, mais une réalité qui s’installe chez nous.

Les robots de service pourraient booster le PIB mondial de 1,2 à 1,5 % d’ici 2035 soit $1 milliard de milliard, libérant 20 heures par semaine pour les humains.

Reste à voir si cet outil sera à l’origine de nouvelles dérives, ou s’il va vraiment bénéficier à la société dans son ensemble.

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PS : Cette newsletter a été écrite à 100% par un humain. Ok, peut-être 80%.

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